Les Westriens sont un peuple humain originaires de Westrie. Ils ont été conquis et intégrés à l’Empire Arkadien depuis plusieurs siècles, et ont finis par s’assimiler à celui-ci, formant aujourd'hui l'un des peuples majoritaire. Ils sont connus dans l’Empire pour leur raffinement, la qualité de leur artisanat et leur goût des arts. Autrefois les westriens formaient un royaume féodale, ils furent conquit et réduit en esclavage par le Royaume elfique avant d’être libéré par les arkadiens.

Voir société impériale

Les Westriens sont un peuple fortement assimilés à la société impériale, ils forment avec les landers l’ossature de la population impériale. Peuple de marchands et d’artisans, les westriens sont d’habiles joailler et forgeron, ils produisent de magnifique objets d’art : peinture, sculpture et bijoux dont raffole la noblesse arkadienne.

Les hommes de Westrie sont connus pour leur courtoisie et leur galanterie, tandis que les femmes sont réputées pour être les plus belles de l’Empire. La culture westrienne évoque partout le luxe et le raffinement. Ils continuent à perpétuer la tradition ancestrale de la chevalerie, croyant dans les idéaux qu’elle véhicule. Grâce à la paix arkadienne, les westriens prospérèrent, libérés des agressions incessantes de leurs voisins et protégés à l’est par la puissante légion impériale. Le commerce explosa, trouvant des débouchées à travers tout l’Empire, l’artisanat westriens se vend sur tout le pourtour de la Mer Intérieure. Véritables patrons de arts, la poésie et la littérature westriennes enrichirent la société martiale des arkadiens.

Les Westriens sont de farouches opposants à l’esclavage, pratique qu’ils jugent dégradante et déshonorable. Si elle existe tout de même dans leur province, ceux qui ont recours à des esclaves sont souvent perçus avec mépris. Cela est surtout dû au fait que les westriens furent eux même esclaves des elfes à l’âge du tyran.

Voir organisation politique

Les westriens se sont massivement convertis à l’Ordo, leurs anciennes croyance ayant presque disparues. Ils ont une lecture moins rigoriste de ses textes que les autres peuples, et leurs mœurs relâchées sont perçues avec mépris par les landers