This is an old revision of the document!
Table of Contents
Culture orlésienne
La culture orlésienne est grandement influencée l’histoire de l’antique Empire d’Orlu qui s’étendait autrefois sur ce vaste territoire et par celle des maekari, qui avaient pour coutume d’intégrer les peuples conquit à leur Empire en pratiquant une forme de ségrégation.
En Orlésie, la société est divisée en castes, dépendant essentiellement de l’origine ethnique et sociale de l’individu, ainsi que de son éventuelle capacité à pratiquer la magie. Ces castes sont organisées selon une certaine hiérarchie et les interactions entre elles sont strictement codifiées, les êtres possédant le don occupant le sommet de la pyramide. Chaque caste vénère ses propres dieux, les différents clergés se subdivisant même en de nombreuses sectes aux pratiques variées. Cette organisation fait de l’Orlésie une terre cosmopolite où humains de nombreuses ethnies, elfes et maekari cohabitent dans les mêmes cités tout en conservant leurs antiques coutumes.
Aux temps de l’Empire, l’Empereur Arrax régnait sur une élite aristocratique de sorciers, les plus puissants d’entre eux étaient les conjurateurs, des magiciens experts dans la pratique de la démonologie qui asservissaient des serviteurs démons. A la mort de l’Empereur, les conjurateurs se divisèrent en de nombreux conclaves qui revendiquaient tous le droit de mettre leur propre prétendant sur le trône impérial ce qui fît imploser l’Empire. Aujourd’hui, les conclaves de conjurateurs sont toujours les maîtres d’Orlésie, régnant sur des cités-états en conflit perpétuel. Le système de caste hérité de l’Empire s’étant préservé avec le temps.
La vie en Orlésie peut sembler extrêmement chaotique d'un point de vue extérieur, le pouvoir émanant de nombreuses sources différentes et le mélange des cultures formant un ensemble électrolyte de pratiques étranges, que seule une personne étant née dedans peut comprendre.
Influence religieuse
‘’Lien cultes orlésiens’’ On nomme souvent l’Orlésie la « terre des milles dieux », la vie religieuse y est omniprésente et très importantes, chaque caste ayant son propre panthéon eux-mêmes subdivisés en d’innombrables sectes, il ne se passe pas un jour en Orlésie sans que l’une ou l’autre caste organise une procession. Ce balais incessants et ce calendrier complexe est d’ordinaire très difficile à appréhender pour les étrangers, mais les orlésiens connaissent et respectent très scrupuleusement ces coutumes ainsi que la nature sacrée des temples et des divinités.
Le pouvoir et les clergés sont très intriqués, essayant souvent de s’influencer l’un l’autre. Les clergés eux-mêmes sont souvent rivaux, le prosélytisme omniprésent servant à attirer de nouveaux croyant dont dépende les recettes financières des temples et, in fine, leur influence politique.
Esclavage
L'Orlésie est une société esclavagiste très particulière, les esclaves appartenant également à différentes castes, ils peuvent parfois occuper des postes très importants dans l'administration d'une cité et même se situer hiérarchiquement au dessus d'une personne libre bien qu'appartenant à un maître plus puissant.
Peuples orlésiens
L'Orlésie est une terre multi-ethnique où coexistent humains, elfes et maekari, unis dans une culture descendant de l'ancien Empire d'Orlu. S'il existe des tensions raciales, les violences sont assez rares surtout grâce à l'influence des milieux religieux.
- Les humains sont actuellement majoritaire, mais n'occupent habituellement pas les positions les plus importantes du pouvoir, ils forment toutefois une élite bourgeoise, la plupart des marchands traitant avec les navigateurs étrangers étant humains. Les castes les plus basses sont d'ordinaire majoritairement composées d'humains.
- Les Maekari sont l'ancien peuple dominant,ils occupent toujours les positions les plus importantes dans les cités orlésiennes, la majorité des conjurateurs étant de leur race. Ils tendent à mépriser les autres de par leur héritage impérial.
- Les elfes fargarans sont minoritaire, mais de par leur plus grande prédisposition à la magie parviennent souvent à se hisser assez haut dans la hiérarchie des conclaves de sorciers. Ils préservent l'héritage de leur aïeux, et se mêlent peu aux autres races.
